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Une surprenante réserve de biodiversité

La flore de Saint-Pierre-et-Miquelon n’est pas très développée : sur les côtes, la végétation est quasi subarctique avec des lichens et des conifères.

– A Saint-Pierre, le site archéologique de l’anse à Henry, le phare de la pointe aux Canons, les Salines, le phare de Galantry, la place du Général de Gaulle, le Fort Lorraine.

Le Grand Colombier, le Grand Barachois, l’isthme de Miquelon-Langlade, ou encore le Cap de Miquelon sont des sites privilégiés pour observer la flore de Saint-Pierre-et-Miquelon. On y trouve de nombreuses espèces d’oiseaux : macareux, pétrels, mouettes, canards, sarcelles, sternes arctiques…
Les côtes de Saint-Pierre-et-Miquelon abritent des mammifères marins tels que les phoques, les baleines à bosse, les dauphins, les rorquals et les orques. Dans l’intérieur des terres de Saint-Pierre-et-Miquelon, vivent des cerfs de Virginie, des chevaux sauvages, des alpagas et des lamas.
– A Miquelon-Langlade, on peut observer la colonie de phoques dans la lagune du Grand Barachois, l’église de Miquelon, le Cap Blanc, le Cap de Miquelon, le phare de la pointe plate.

L’île le Grand Colombier est la plus riche en biodiversité : des centaines d’espèces d’oiseaux y vivent, comme les macareux, un oiseau au bec coloré emblématique de l’archipel.