Le plus grand lagon fermé du monde et 30% des récifs coralliens « pristines » de la planète se trouvent en Nouvelle-Calédonie.
Elle se différencie des autres îles du Pacifique, par des richesses culturelles et de paysages diversifiés. Dans sa capitale Nouméa, vitrine du tourisme balnéaire, se côtoient les cultures mélanésienne et océanienne.
Fortement influencée par d’autres cuisines, notamment asiatiques et océaniennes, la gastronomie tient une place importante dans la culture calédonienne. La cuisine originale et variée, fruit du mélange des cultures, a évolué au fil de l’histoire de ce Territoire. La spécialité culinaire la plus populaire de Nouvelle-Calédonie est le bougna, le plat traditionnel kanak transmis sur des générations. Les ingrédients composant le plat (poisson ou viande blanche, ignames, taros, patates douces, bananes poingo) sont arrosés de lait de coco, enveloppés dans des feuilles de bananiers et cuits à l’étouffée, pendant plusieurs heures, dans un four à pierres chaudes creusé dans la terre.
L’offre d’hébergements est diversifiée, allant de l’accueil en tribu aux hôtels cinq étoiles de marques internationales (Le Méridien, Sheraton, Hilton, etc.). La multitude d’activités terrestres et nautiques permet de cibler un large éventail de marchés de niche.
Chaque année ce sont plus de 115 000 touristes qui visitent La Nouvelle-Calédonie, un chiffre en constante augmentation. Les croisiéristes de plus en plus nombreux, plus de 500 000 en 2016.
Cette évolution a poussé le gouvernement et les provinces à initier une nouvelle stratégie de développement touristique qui privilégie le tourisme durable. En encourageant la construction de nouveaux hôtels ; en renforçant la notoriété de la Nouvelle-Calédonie dans la région et auprès des nouveaux marchés émetteurs tels que la Chine, elle doit permettre d’attirer 200 000 touristes et plus d’un million de croisiéristes à l’horizon 2025.
Globalement, le tourisme a été l’un des secteurs les plus durement éprouvés par la pandémie de Covid-19. A La réouverture des frontières en fin 2021, mais les arrivées se sont limitées à 12 450 touristes, soit une baisse de 60% par rapport à 2020.
